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Scènes et incarnations de l'imaginaire

Blogue animé par Pierre Philippe-Meden. ISSN 2494-3525

Équi-libres. Dialogue entre Alexis Gruss et Gabriel Cortès

Réflexion sur le rôle de l'équilibre dans le travail des chevaux. Université d'Avignon. 4e leçon du Pôle d'action culturelle équestre. L'écuyer Alexis Gruss dialoguera avec le colonel Gabriel Cortès, commandant du régiment de cavalerie de la Garde républicaine et auteur de James Fillis, l'Écuyer de l'Europe (2016) — 24 mai 2022 de 11h à 13h — Campus Hannah Arendt - site centre-ville - Amphithéâtre AT05

Réflexion sur le rôle de l'équilibre dans le travail des chevaux. Université d'Avignon. 4e leçon du Pôle d'action culturelle équestre. L'écuyer Alexis Gruss dialoguera avec le colonel Gabriel Cortès, commandant du régiment de cavalerie de la Garde républicaine et auteur de James Fillis, l'Écuyer de l'Europe (2016) — 24 mai 2022 de 11h à 13h — Campus Hannah Arendt - site centre-ville - Amphithéâtre AT05

Né à Londres, James Fillis (1834-1913) vint très jeune en France. Issu du monde du cirque, il côtoya d'abord François Baucher, dont il fut tant admirateur que critique. Écuyer chez Victor Franconi à Paris, il connut la gloire lors de présentations publiques de chevaux dressés en Haute-École dans les années 1880-1890. Personnage hors du commun, montant jusqu'à seize chevaux par jour, James Fillis s'est intéressé à toutes les formes d'équitation. Inscrivant sa doctrine dans la tradition de l'École française, il fut aussi un auteur de renom. Fêté dans toute l'Europe, il devint écuyer en chef de l'École centrale de cavalerie de Saint-Pétersbourg en 1898. Il y enseigna jusqu'en 1910 et peut être à bon droit considéré comme le père de l'école russe de dressage dont Filatov, médaillé d'or aux Jeu

Né à Londres, James Fillis (1834-1913) vint très jeune en France. Issu du monde du cirque, il côtoya d'abord François Baucher, dont il fut tant admirateur que critique. Écuyer chez Victor Franconi à Paris, il connut la gloire lors de présentations publiques de chevaux dressés en Haute-École dans les années 1880-1890. Personnage hors du commun, montant jusqu'à seize chevaux par jour, James Fillis s'est intéressé à toutes les formes d'équitation. Inscrivant sa doctrine dans la tradition de l'École française, il fut aussi un auteur de renom. Fêté dans toute l'Europe, il devint écuyer en chef de l'École centrale de cavalerie de Saint-Pétersbourg en 1898. Il y enseigna jusqu'en 1910 et peut être à bon droit considéré comme le père de l'école russe de dressage dont Filatov, médaillé d'or aux Jeu

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