9 Avril 2021
L’amplitude de la crise environnementale, à la fois globale et locale, structurelle et multiforme, oblige la société à transformer ses rapports à la nature de manière toujours plus profonde. Prises isolément, des problématiques comme celles du changement climatique, de l’érosion de la biodiversité, des pandémies ou de l’acidification des océans renvoient à des communautés scientifiques, des parties prenantes ou des politiques publiques bien spécifiques. L’imbrication toujours plus grande de ces problématiques appelle pourtant les chercheurs comme les citoyens à renouveler leur appréhension des relations qu’entretiennent l’humanité et l’environnement.